RETROSPECTIVE
Aujourd hui je suis une adulte et en reflechissant je me dis que :
Lorsque nous sommes enfants, nous languissons de devenir "grand"
A quoi sert l'ecole, les apprentissages, nous sommes les plus forts et évidemment que nous saurons nous adapter, alors l'enfance est du temps perdu.
et puis,
Nous devenons majeur, enfin quelle libération ,
Certains d'entre nous suivront tout de même les conseils de leurs parents car ils commencent à se rendre compte que ce n est pas si simple et que pour arriver où l'on veut , ben oui il faut le ' B A BA" pour payer les factures, les loyers et tout ne se fait pas en un jour..........................
Les autres continueront à dire "foutaise tout ça moi je prends ce dont j'ai envie et s il en reste pour les autres tant mieux ou non" et ils feront souvent ce qu ils veulent au détriment des autres.
La trentaine arrive, et ceux que nous appellerons les sages ont plus ou moins suivi le schema de vie ou, l'ont quelque peu change, mais sont pour la plus part en couples avec des enfants un appartement ou une maison et un métier pas forcément aussi rejouissant qu'ils l'auraient souhaité..mais bon.................
Les autres, les voyous qui n ont jamais voulu obeir aux règles de la societé et qui prennent aux uns sans vergogne sous pretexte que l on a qu' a se servir sinon on a jamais rien............ et ceux encore qui vivent grâce aux aides qu ils quémandent à droite ou a gauche.
Mais cette deuxieme catégorie de personnes qui se complait à vivre comme ils l 'entendent est elle plus heureuse que la première catégoriede de L'humanité??????????
Ce n est certainement pas à moi de dire quel est le bon de chemin de vie, même si j'ai mon idée la dessus mais suis je plus heureuse pour autant? je ne le sais pas et ne le saurais certainement jamais, mais je trouve que ce précepte n'est pas si mauvais que ça.......
J'essaie, dans la mesure du possible de regarder devant moi et de faire des projets qui , en aucun cas, ne me raméneront à ce que j'ai pu être auparavant, même si ce n'était pas malfaisant, ni misérable.
Je fais trés attention de ne nuire à personne,
Je sais que j'ai trés peu d'amis mais que ce sont les meilleurs du monde et que toujours ils seront là a m'épauler comme ils pourront , eux aussi, compter sur moi en cas de nécessité,.
Mes proches se limitent à mon fils et une autre personne qui m'est trés chère même s'il n'est pas à mes côtés et les enfants que j ai pu aider à grandir sereinement qui même s'ils ne sont pas les miens, sont toujours là trés proches.
Du coup pour ça oui je suis riche de la vie et je m' en félicite.
Cela dit j'ai aussi de la chance d'avoir mes fidèles lecteurs qui se reconnaitront forcément et que j'aime beaucoup.
Je n'ai pas le souvenir que ma majorité ait changé quoi que ce soit, sinon administrativement. Pour ce qui est de la "sagesse", je crois qu'elle m'est arrivé autour de la quarantaine ; avec la décision de faire un premier enfant.
RépondreSupprimerJ'ai un frère qui n'a pas suivi le même schéma que le reste de la famille. Je ne sais pas s'il a été plus heureux, ou moins, que nous. Il a juste "profité" différemment de la vie. Il se contente de ce qu'il a, c'est-à-dire : peu. C'est lui qui a suivi ce chemin ; il avait les mêmes cartes, mais il s'en est servi différemment. Le résultat est forcément différent. En fait, il "donne" de ses nouvelles, environ tous les dix/douze ans. Je n'ai pas de contact avec lui.
Ton précepte me convient. Je traverse la vie du mieux que je peux, du mieux que je sais. Je ne suis pas trop mécontent de mon parcours. J'ai aussi la chance d'avoir des lecteurs, que dis-je, des lectrices fidèles (dont tu fais partie). Même si je ne suis pas très prolixe. J'ai un texte en préparation, mais je ne suis pas très assidu. Ca viendra...
Bises Auvergnates
Merci Xoulec de passer et d'être fidele
Supprimerpour en revenir à ce precepte il me semble logique aussi et finalement chacun choisit sa voie mais le principal serait peut ête pourrait l appliquer à sa manière mais avec une seule obligation le respect d'autrui.
bises cantalouses.
Dans mon enfance j’entendais dire, « chacun fait son lit comme il veut se coucher »… cela me semblait un respect de la liberté des uns et des autres. Mais à la maison on faisait son lit comme on avait appris à le faire dans la famille.
RépondreSupprimerÀ 12 ans j’ai quitté ma famille pour trois ans pour raison de santé. Ça m’a profondément changé le corps et l’esprit. Je crois que je suis devenu adulte avant ma majorité.
J’ai peut-être eu cette chance de trouver à chaque étape le bon chemin de vie qui me convenait. Et pourtant c’était pas gagné. Avec le recul je n’ai quasiment pas de regrets concernant mes choix de vie fondamentaux, c’est-à-dire ceux qui ont orienté ma vie dans telle ou telle direction. Globalement j’y fus heureux de donner ce que j’avais à donner. Ça ne veut pas dire que ce fut sans échec ou errements.
La chance peut-être : mais les bonnes personnes au bon moment furent toujours là pour m’aider et me guider. D’autres, je les ai choisies délibérément par pressentiment.
Me reste une question, de celle que l’on dit existentielle, y a-t-il quelqu’un ou quelque chose qui « préside » à tout cela ? Sans parler de déterminisme où tout serait écrit à l’avance,. Par-delà nos choix : qui ou quoi désire-t-il foncièrement que nous accomplissions vraiment qui nous sommes, c’est-à-dire ce qui nous rendra heureux d’avoir servi, de servir à un petit quelque chose sur le chemin de l’humanité des humains.
Bonjour Alain et merci d'être là.
SupprimerComme je le disais a Xoulec, ce qui me semble le plus important est le respect d'autrui apres c est vrai que l on essaie de suivre le chemin trasmi par nos parents mais avec nos chemins de vie à nous . Aprés au travers des billets que nous a donner a lire il me semble que tu es un sage et même si la vie ne t a pas toujours épargné tu as su faire les bons choix.
bises