PREJUGES

 Lorsque nous devenons parents, nous sommes heureux, fiers d'être à notre tour parents, mais là commence un long périble pas si tranquille que ça.

Bien sur nous allons nous appuyer sur la manière dont nos parents nous ont élevè en essayant d'éviter ce qui nous semblait injuste ou inopportun. mais au fil du temps et des années nous nous rendons compte que le métier de parent est trés difficile, pour moi surement le plus difficile et c'est pourtant celui pour lequel aucune école que celle de la vie ne nous forme.

Bébé, nous le bichonnons, nous le nourrissons, nous faisons en sorte qu'il ne manque de rien, il grandit, commence à marcher et là nous sommes attentifs a ce qu'il ne lui arrive rien.

Petit à petit, il va a la crêche, à l'école maternelle, à l'école primaire et là ca commence à se compliquer :

                *Sois poli

                *Ne te bagarres pas, ne sois pas violent

                *Ne mens pas

                *Respectes les autres

                *Ne touches pas aux produits illicites

et plus les années passent et plus nous inculquons des principes que l'on nous  a gravé dans le crane, mais les époques changent, les manières de vie évoluent pas toujours en bien mais elles évoluent et on se rend compte que les préjugés sont des poisons qui nous sont transmis depuis notre enfance par nos familles, nos religions et nos sociétés.

Aujourd'hui, je ne regrettes pas d'avoir élevé mon fils en respectant autrui mais du coup il fait parti d'une minorité de jeunes adultes qui subissent l'agressivite et la violence des autres et qui n'usent de violence verbale et éventuellement de violence physique qu'en  dernière extremité  alors qu'en est il de la bonne éducation?

De l'ASE à la rue, les jeunes majeurs laissés pour compte – Libération 
https://www.youtube.com/watch?v=WX65-PZPUn8
 

 

 

 


Commentaires

  1. Comme tu le dis au début, on ne naît pas parent, on le devient. Alors ça s'apprend nécessairement sur le tas. Il n'existe pas de « parent type », de modèles qu'il faudrait suivre.
    Il y a juste un guide intérieur, intuitif, à la recherche de l'acte juste en suivant sa conscience éclairée du moment, et l'éclairage se fera de plus en plus intense à mesure que les années éducatives se dérouleront.
    Chercher à aimer l'enfant du mieux que l'on peut. Avec nos brillances et nos réussites, et avec nos limites de toutes sortes.
    Plus que d'inculquer les principes, on cherchera à aimer avec justesse.
    Comme tout un chacun l'enfant sera affronté à la violence du monde, qu'elle soit brutale ou douce. On cherchera avec l'enfant le conseil le mieux adapté pour chaque circonstance. Il n'y a jamais de généralités applicables en toutes circonstances.
    Est-ce qu'on réussira ? : mais bien entendu !…
    Est-ce qu'on aura des échecs ? : Mais bien entendu !…

    En conclusion, il n'y a pas de réponse à ta question finale.
    Il n'y a pas de bonne ou de mauvaise éducation.
    Il est celle que l'on a reçue et celle que l'on donne.
    Chaque parent essaye de faire au mieux…
    (je ne parle pas des parents pathologiques, déviants, auquels il faut retirer l'enfant c'est un autre problème…)

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  2. Oui il est vrai qu 'en tout état de cause on fait du mieux qu 'on peut même lorsque l'on fait des erreurs . Le principal étant d y mettre toute sa bonne volonte et faire en sorte d 'eviter à nos enfants de tomber dans les ecueils de la vie.
    J'espere que tu as passé de bonnes vacances.

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