LA LAMPE DE LA VIE
Un beau jour ou peut être une nuit, à force de frotter la lampe de la vie, le génie apparaitra et me signifiera que l'heure est venue de changer de galaxie.
M' octroiera t il de droit d'exaucer trois voeux avant le grand départ, car je n'aurais pas de valise à préparer ?
Si tel était le cas lesquels seraient ils?
Le premier serait de dire à mon fils à quel point je l'ai aimé, à quel point je l'aime encore, à quel point je suis fière de lui et que, où que j'aille je ne cesserais de l'aimer et de veiller sur lui. Je voudrais qu'il n'ait pas de chagrin car si ma vie a été compliquée elle est devenue si belle grâce à lui et uniquement grâce à lui.
Le deuxième serait de savoir si la vingt ou trentaine d'enfants que j'ai aidé à grandir ont pu garder, malgré les difficultés présentent au cours leur passage plus ou moins long, chez moi, un bon apprentissage de ce que peut être une famille.
Le dernier est plus égoïste, je voudrais faire ce dernier voyage sans souffrance et sans machine, m'éteindre comme une bougie sans bruit en toute simplicité, un peu comme se passe ma vie, m'endormir et ne pas me réveiller.
En attendant très cher génie je ne fais pas trop de ménage ces temps derniers donc je ne frotte plus rien tu as le temps, je ne suis pas pressée juste je me suis éveillée un peu nostalgique mais j'ai bien l'intention de vous inonder de mes bétises de gamine encore un moment mais sachez que si un jour, qui viendra c'est sur, vous ne me lisez plus, sachez que le temps passé avec vous que ce soit vos visites, vos commentaires, me remplissent de bonheur et même si je vous connais peu je vous en remercie du fond du coeur.
https://www.youtube.com/watch?v=R2FTxSTWz64
Un petit coup de blues ?
RépondreSupprimerOUI désolée
RépondreSupprimerYo, yo, yo... moi aussi j'en ai trois de vœux pour le grand départ : une bonne bouffe entre deux où l'on allie le fond et la forme, genre : déguster une salade de fruits communs comme... l'abricot, la banane... (suivez mon regard). Ensuite racontez des conneries d'antan, puisque on se retrouverait, plutôt que de la jouer drame d'un départ définitif sur le quai d'une gare... et enfin, pour le dernier, zapper la couillonnade d'un jugement divin qui prétendrait, avec amour, de te fourguer des orties dans ton caleon sous prétexte que tu as été con dans ta vie d'homme (qu'est ce que dieu connait de la vie d'un homme, d'abord ?).
RépondreSupprimerBon alors, je t'ai fait rire ?
J'ai adoré oui je ris aux eclats
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