DEVOIR RENDU A ALAIN

 

Malgré tous nos efforts, les fêtes sont passées dans un climat de "mort attitude", l'année s'est achevée bien tristounette et me voilà reparti dans la monotonie quotidienne.

Non il n'en est rien, il n'y a aucune habitude dans cette reprise car même si je reprend le rythme régulier de ma vie, il faut composer avec le couvre feu, le masque et ce maudit virus qui veut nous éradiquer.

Regardez cette placette qui, habituellement, grouille de monde, où les gens se croisent et s'attardent aux terrasses des bars pour prendre leur café, pour échanger sur tout ou rien, c'est désert j'ai l'impression d'être un extraterrestre. Ce lieu qui est si agréable en temps normal semble soudain triste et monotone, de plus le temps s'en mêle, il ne fait pas beau il fait même froid comme pour me dire  "retourne dans ton lit". 

C'est un climat de guerre à la maladie qui s'instaure et qui va gagner?

Nous bien sur, ne nous sommes nous pas tous présentés les voeux d'excellente santé....................

En attendant je pars bosser et essayer de rentrer avant le couvre feu en ayant, auparavant fait mes courses.

Commentaires

  1. Voilà un texte au réalisme implacable, qui donne froid dans le dos, tel un glaçon que l'on ferait descendre le long de la colonne vertébrale.

    « Ce lieu qui est si agréable en temps normal ». On en vient à se demander que va devenir le concept de « temps normal » dans les mois et les années à venir ?
    Est-ce que les constats d'aujourd'hui ne seront pas le « temps normal » de demain ?
    Voilà qui ouvre des perspectives abyssales…

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    tu peux faire profiter d'autres de ton texte… il suffit de le signaler chez « le goût » dans les commentaires qui suivent son propre texte.
    Ses propositions sont « open bar »

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  2. L'époque est malheureusement glaciale par la température et j'avoue être quelque peu pessimiste quand à notre devenir.
    J'espère me tromper, ce qui est fréquent mdr, et que ce que je trouvais normal le restera.

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  3. L'important n'est-il pas de vivre ? Le fait e grelotter de froid ou d'appréhension nous rappelle un principe essentiel : nous sommes vivants !

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    1. Pas faux cher ami, faisons tout notre possible pour rester vivants...........

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