Merci Alain
Pour en revenir a ce que tu as publié Alain, j'ai médité sur ce que tu dis, "Prendre la main que Ma vie me tend" et lorsque j'ai lu ce précepte, je me suis dit qu'en effet;
J'ai tendance à ressasser le passé et du coup je ne vis pas pleinement les jours qui s'écoulent avec toujours cette crainte de me tromper de nouveau. Il faut que je me fasse confiance les erreurs passées doivent me servir de leçon et ne pas m'empêcher d'avancer.
Pourquoi m'inquiéter de l'image que les gens ont de moi ? Je suis moi avec mes valeurs, je ne fais de mal a personne bien au contraire, j'ai toujours un sourire épanoui même quand j'ai mal................
J'ai réussi la plus belle chose au monde, alors que la médecine me disait que je n'aurais jamais d'enfant, mon acharnement m'a comblé en me donnant le plus beau et gentil garçon qui soit.........que puis je vouloir d'autre?
Je vais peut être un peu moins m'occuper des autres et penser un peu plus à moi sans pour cela devenir égoiste, je ne le pourrais pas.
Finalement ton réveil nocturne m'a ouvert les yeux....................Tu es quelqu'un de sage et ton dernier billet sur la Covid en est encore une preuve.
Je ne peux que me réjouir de cette manière nouvelle quant au regard que tu portes sur toi-même. Et qui me semble tout à fait prometteur.
RépondreSupprimerTu as raison, ressasser le passé nous fait stagner. À l'inverse, comprendre ses erreurs, et même parfois se les pardonner, lève la crainte de se tromper à nouveau. De toute façon c'est comme cela qu'on avance. C'est bien souvent trois pas en avant un pas en arrière. Parce que nous sommes des vivants libres de se chercher.
Quant à l'opinion qu'ont les autres sur nous : on a strictement aucun pouvoir là-dessus la seule chose que l'on peut faire c'est regarder notre potentiel, inventorier nos talents et aspirations et la manière dont on peut les développer.
Ta persévérance t'a apporté l'enfant que la médecine croyait impossible. Cela me rappelle ce slogan bien connu : « c'était impossible, c'est pour cela qu'on l'a fait ».
Alors, laisse-toi faire par la générosité de la vie, elle est pour toi, elle est pour moi, pour nous. C'est en l'accueillant que l'on peut mieux la partager avec d'autres et les servir là on sent avoir à être et s'engager.
Quand on a comprit cette dynamique-là, le mot égoïsme n'a plus de sens. L'égoïsme c'est sans doute quand on n'accueille pas la vie en soi.
Merci beaucoup pour ce billet. Il me fait du bien. Parce que c'est dans cette ligne de développement que j'essaye de positionner mon existence. Je n'y arrive pas toujours, mais jamais je ne désespère. Je me décourage parfois, mais la vie me rappelle bien souvent : « allez ! Viens donc par ici ! ».